
Toujours prêt à faire l’aumône au 1er venu comme David Aknin a pu le constater, Stéphane Chaouat est plus porté sur Goldfinger (1964) que L'espion qui m'aimait (1977) si l'on en juge par ses chiffres. Au moins, il ne risque pas de tomber sur le... Lire la suite